La numérisation de films photochimiques et vidéos analogiques genère inévitablement une énorme quantité de données. De quels moyens dispose l’archive pour pouvoir non seulement rendre accessible le patrimoine culturel numérique qui lui est confié, mais aussi en assurer la sauvegarde et la maintenance?
Une des possibilités consiste à stocker les données sur des bandes magnétiques. Quelle infrastructure est nécessaire pour ce faire? Comment pourrait être organisé le travail? Comment conserver correctement les cassettes?
La solution courante, basée sur les cassettes de type LTO, sera présentée et discutée de manière critique. Qu’avaient promis les fabricants? Comment se présente aujourd’hui la réalité pour les archives? Que pouvons-nous attendre de la technologie LTO à l’avenir? Quelles sont les alternatives à LTO?
Ne rien faire et attendre n’est pas une option possible pour les archives numériques! En cas de nécessité, à chaque migration des données, il est possible de modifier conteneur, codec, données et métadonnées. Ceci ouvre des horizons complètement nouveaux à l’archive, en lui offrant des moyens supplémentaires pour la gestion des données qui lui sont confiées.
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